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Nobody expects the Spanish inquisition

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Nobody expects the Spanish inquisition
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2 avril 2007

Dis Chéri, tu trouves pas que... ??

Par Maritxu

31/01/2007 Mercredi

Bon, ça y est, c’est sûr, mes seins ont grossi. J’angoissais un peu de ne pas avoir cette manifestation « sympathique » de la grossesse. (qui a dit : de toutes façons, tu angoisses sur tout ?) Ils avaient bien l’air plus denses, mais pas tellement plus gros. Il faut dire que je ne les avais jamais vraiment examinés à la loupe avant, hein.

Mais Chéri me certifiait qu’ils étaient plus gros et sur ce genre de détails, j’ai tendance à lui faire confiance.

Et puis hier soir le verdict est tombé : ils débordent de mon sous-tif.

Donc ils sont plus gros.

Youhou ! J’ai des gros seins !

Va falloir me racheter des soutiens-gorges…

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30 mars 2007

Citation

Par Maritxu

nutella"On a essayé de fabriquer du Nutella light. On n'y arrive pas, c'est dégueulasse."

Le directeur général de Ferrero (Nutella, Kinder...), explique dans Le Parisien qu'il ne peut lutter contre l'obésité qu'en vendant de plus petites portions.

Lu dans le 20 minutes (N°612) du 2 novembre 2004.

Ce midi, polémique sur le Nutella et son goût inimitable... Il est vrai qu'après le test de nombreuses pâtes à tartiner, le vrai Nutella est irremplaçable. Et son sucre non plus !
Ca m'a rappelé cette petite phrase, lue à la fac, il y a quelques temps, dans la rubrique "c'est dit!" de 20 minutes.

29 mars 2007

Coup de gueule

par Maritxu

Et allez ! Encore une belle qui me mets hors de moi aujourd’hui.

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Jean-Paul Huchon, président PS de la région Ile-de-France, a décidé de la gratuité des transports en communs pour les RMIstes d’Ile de France. Oh la belle mesure bien démagogique après les émeutes Gare du Nord.

Remarquez, on se dit, c’est pas plus mal, c’est vrai qu’ils recherchent du boulot, il faut leur permettre de se rendre aux entretiens d’embauche. Oui, c’est vrai. Alors on se dit que le président de la Région a bien fait de mettre en place une telle mesure. Même si elle coûte cher.

Sauf que.

Oui, il y a un sauf.

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Sauf que ce genre d’aide existe déjà, et ça s’appelle la carte solidarité transport, qui donne droit à d’importantes réductions, voire même à la gratuité des transports en IdF pour les personnes en situation précaire. Quel est alors l’intérêt de mettre en place une mesure redondante et qui en plus coûte 87 millions d’euros ?

D’ailleurs comment peut-elle coûter aussi cher puisqu’en théorie, comme les aides sont déjà versées, cette mesure inutile devrait être gratuite !

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Vous avez remarqué que je laisse même de côté tout mon argumentaire sur l’assistanat des gens au chômage et sur le fait qu’aucun contrôle ne sera possible sur les trajets effectués, encourageant par là le travail au noir.

Vous avez bien noté que je n’ai rien dit là-dessus.

26 mars 2007

(Little) Nemo

Ca, c'est une sortie à faire, si vous êtes pas trop loin de Paris...

A Noël dernier, ma soeur à moa, Popie, la meilleure des grandes soeurs, m'a offert un bouquin qui déchire: Nemo par Pennac... Un livre qui raconte un monde plein de poésie, en plein Paris, si si.

Je vous en dit pas plus, sauf que c'est l'histoire d'un type qui dessine Nemo sur les murs... mais attention! pas Nemo, le petit poisson que son papa cherche pendant une heure et demie! Non, non, le vrai Nemo, le seul, l'unique, le Little Nemo de Winsor McCay, créé en 1905, les enfants! Le héros de Little Nemo in Slumberland: le grand livre des rêves, dont un exemplaire gigantesque attend l'anniversaire de Popie pour rejoindre ses pénates à Lille, dans la bibliothèque pleine de bédés.... ^^

little_nemo

Mais bon, les dessins de Little Nemo (dont je n'ai pu trouver aucune photo sur internet, quel bande de nuls!), ils ont plus de vingt ans... Mais il dessine aussi un autre grand type, tout en noir:

Nemo

Et aujourd'hui, grâce à Popie, j'ai vu ce Nemo. Enfin, pas ce dessin-là, mais j'ai vu l'homme en noir. Rue du Renard à Paris, juste après Beaubourg.

Alors, la prochaine que vous vous baladerez dans Paris (surtout le 20ème, les enfants, c'est là que tout a commencé!), ouvrez l'oeil -et le bon!

22 mars 2007

Vite fait (bien fait!)

Alors, ça y est, chuis allée voir Angel, lundi dernier.

Bein, c'est pas aussi bien que l'affiche! C'est con à dire, mais c'est comme ça. J'avais déjà pas aimé 8 femmes, je vais finir par croire que je n'aime pas le cinéma de M.Ozon... Je vous en dis pas plus, parce que je n'ai pas encore vraiment trouvé ce qui me manque dans ce film, un peu comme la science des rêves... (mais en encore moins bien, en fait)

Et j'ai vu mardi soir, avec ma grande copine de manteau rouge, Ecrire pour exister, avec Hillary Swank. Et bien, en voilà un film qui tient ses promesses! Le résumé, l'affiche, la bande-annonce, tout annonçait un film émouvant et plein de bons sentiments... et bein, c'était émouvant et plein de bons sentiments! Mais parfois, ça fait du bien. ^^
En revanche, ma coupine et moi en sommes arrivées à la même conclusion: Hillary, elle joue peut-être bien, mais elle est vraiment pas jolie, c'est fou...

Et sinon, aucun lien, fils unique, mais ma prof d'oral est une connasse. Ca vous avance à rien, et moi non plus d'ailleurs, mais ça me soulage. C'est un peu ça, aussi, un blog, avoir une fonction cathartique, non?!? Bein voilà.

Allez, bonne soirée!

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19 mars 2007

Au revoir, café...

Par Maritxu

22/01/2007 Lundi

C’est décidé, je deviens allergique au café. Je ne supporte plus le goût et l’odeur devient pénible. Quelle poisse ! Moi qui adore ça ! Et c’était le seul « défaut » qui me restait. Bon, de toute façon je n’ai pas le choix, je manque de vomir à chaque fois que j’en respire.

Je suis condamnée à une grossesse saine.

C'est quand même injuste. J'arrête la clope, j'arrête l'alcool (et comparativement, c'est surement d'arrêter l'alcool qui me coûte le plus), je voulais juste me garder mes 3 tasses de café quotidiennes pour tenir le coup... Ben non, ça ne mesure même pas 2 centimètres et ça m'impose déjà ses quatre volontés.

17 mars 2007

Printemps du Cinéma 2007

Bein, tout est dans le titre, ou presque:

Demain, lundi et mardi, c'est 3,50€ la séance dans quasiment tous les cinémas (sauf les tous petits indépendants, qui ont besoin de sous pour survivre, j'imagine), alors profitons-en!

Ca ne m'arrivera pas tous les jours de payer une place à ce prix à l'ugc du coin...

Je sais pas vous, mais moi, dans mes films éventuels, (et je souligne éventuels, c'est juste ceux qui, oui, pourquoi pas, me tenteraient, surtout à ce prix-là), il y a: Angel, de François Ozon (j'adore l'affiche! Ca peut vous paraitre futile, mais  c'est important: je n'ai pas voulu aller voir Da Vinci Code à cause des affiches... et apparemment, j'ai eu raison.)

Le Come-back, avec Hugh Grant et Drew Barrymore.... J'avoue, celui-là, si j'ai pas le temps, ce sera pas très grave...!!!

La cité interdite, parce que ça a l'air grandiose, et que de temps en temps un film grandiose, ça fait du bien...

Ecrire pour exister, avec Hillary Swank, typiquement le genre de films pour filles, que moi j'aime bien... mais pareil, si j'y vais pas, ça ne me traumatisera pas...

Par effraction, d'Anthony Minghella... Parce que, j'ai envie.

La Môme, parce que tout le monde m'a dit que c'était super, alors même si j'aime pas particulièrement Piaf... On verra.

et Ne le dis à personne, parce que tout le monde aussi m'a dit que c'était bien, et en plus, comme ça, ce sera mon deuxième film avec Guillaume Canet!^^

Ca fait beaucoup, j'irai pas tout voir (d'autant qu'une semaine chargée m'attend...), mais bon... chouettte!^^

Et vous, vous irez?

16 mars 2007

Re-Extrait

Du Pennac, puisque j'en parlais, et restons dans la même veine:

"Qu'une femme est belle en ces premiers mois où elle vous fait l'honneur d'être deux!"

Monsieur Malaussène, Daniel Pennac.

Sinon, dans le livre précédent, La petite marchande de prose, y avait cette phrase que j'aime bien:

"Quand la vie ne tient plus qu'à un fil, c'est fou le prix du fil!"

(Aucun lien entre les deux phrases, bien sûr...!! Manquerait plus que ça!)

C'est pour ça que j'aime Pennac: ça doit être le premier qui m'ait fait comprendre que la langue française est un jouet... alors autant jouer avec.

16 mars 2007

TOEFL

Et bé, ça fait longtemps que j'ai pas écrit de post, moa! pfiou... Mais bon, Popie avait des tas de choses passionnantes à vous raconter, donc ça va, c'est pas comme si vous aviez rien à vous mettre sous les yeux! (d'ailleurs, j'aime beaucoup la nouvelle catégorie de popie, sur ce qui se passe à l'intérieur d'elle, là-bas, au fond du ventrou à droite).

Bon alors, si je reviens, c'est que j'ai quelque chose à vous dire! (bein, oui, des fois, ça m'arrive). Comme ça fait longtemps que je n'ai pas écrit, je crois que ce poste sera un chouia long... hum, comme d'hab, je sais.

Alors, d'abord, j'ai 13,947 de moyenne à mon premier semestre. Cool, vous entend-je dire. Oui, mais je rate la mention bien à... 53 centièmes, je crois. Enfin, à des poussières, quoi. Et ça, ça me fout un peu en rogne. Mais pas trop, j'suis quand même contente, tout compte fait.

Et puis, j'ai eu les résultats de mon TOEFL... Oui, parce que je l'ai passé, le 24 février, près de Montparnasse. Certains d'entre vous se demandent peut-être ce qu'est le TOEFL... c'est le Test Of English as a Foreign Language. Et si vous comprenez pas le titre, c'est pas la peine de vous inscrire... C'est un test qui certifie que vous parlez, lisez, comprenez et écrivez l'anglais en bonne et due forme...

Franchement c'est pas compliqué, c'est surtout abrutissant. 4 heures voire plus, j'me souviens même plus) de questions non stop (enfin, si, pardon, 10 minutes de pause, chouette), ça use. Alors à la fin, tu sais pas si t'as bien répondu aux questions, pasque tu t'en souviens plus des questions, y en avait trop.

Donc, voilà, moi j'ai passé la version ibt du toefl (interned based test), c'est à dire sur ordinateur... Le temps d'arriver, de montrer ma carte d'identité (sans laquelle on le passe pas, et on a $155 dans les fesses), qu'on me montre comment fonctionne l'ordi, le micro, le casque, tout ça... Et puis c'est parti mon kiki.

Le test se divise en 4 parties: reading (lecture), listening (écoute), speaking (prise de parole) et writing (rédaction). Le toefl prépare à passer du temps dans une université anglophone, donc la majorité des situations sont des classes de littérature, biologie, etc; ou encore dans la bibliothèque de la fac, et que sais-je encore... C'est, je crois, différent du TOEIC (Test Of English for International Communication), qui prépare à un contexte d'entreprise. Enfin, il me semble, mais comme je l'ai jamais passé, je sais pas bien. Enfin, le TOEIC, c'est le niveau du dessus.

En général, il y a suffisamment de temps pour tout, les questions ne sont pas difficiles, parfois un peu tordues, mais bon, globalement, c'est pas sorcier, comme diraient Fred et Jamie. La preuve, je l'ai eu, alors, tout arrive! Enfin, j'étais pas (trop) stressée, c'est plus une formalité qu'autre chose quand on parle déjà un peu anglais comme moi (j'me passe pas de pommade, mais je suis quand même en troisième année d'anglais, alors si je sais pas parler...), après c'est le nombre de points qu'on obtient qui est important. Ah, tiens, oui, au fait, le total est de 120 point, 30 points par partie (a fait le calcul pour bien vérifier qu'elle dise pas de connerie plus grosse qu'elle).

On est une vingtaine dans la salle, peut-être un peu plus... Les ordis sont très joulis, tout ça... le truc surprenant: quand j'ai dû commencer à écrire pour la dernière partie, je me suis rendue compte que c'était un clavier qwerty. Pas facile de taper dans les premières minutes, il faut bien se relire... mais on s'habitue rapidement, quand même.

Un conseil, si je puis me permettre: ils faisaient rentrer les gens un par un, mais dans n'importe quel ordre (pas genre, par ordre alphabétique: le premier prêt rentre, point barre). Je suis rentrée en deuxième, et je dois avouer que ça confère un avantage pour la suite du test: quand on doit commencer à parler, on peut entendre les autres parler, et ça peut être génant. Donc si on a commencé le test avant les autres, on est pas géné, puisqu'on est déjà en train de parler... Ai-je vraiment été claire?... *le doute s'installe...* Vous demanderez si ça vous intéresse.

Et sinon... Bein, voilà... J'ai fait mon petit tour à Nantes où j'ai vu la mer, le petit tour à Cahors est devenu un petit tour à Toulouse, et puis je repars à Toulouse voir l'INSA (institut national des sciences appliquées...je crois) à la fin du mois, et vous vous en fichez... J'ai croisé Guillaume Canet rue Saint-Antoine, enfin, je crois, je me suis pas arrêtée, parce que: 1-il était au téléphone, et ça aurait pas été poli, 2-je suis pas particulièrement fan, et 3-je suis tellement pas fan que j'ai même pas été foutue de me rappeler un seul film avec lui que j'avais vu, et il s'avère que de toutes façons, sur tout ce qu'il a fait, je n'ai vu que Jeux d'enfants.
Et puis, Ensemble C'est Tout sort mercredi en salle... Comme dit Popie, si vous ne connaissez pas Anna Gavalda, achetez ce bouquin et ouvrez-le. Une fois que vous l'aurez ouvert, vous le lirez n'importe où.
Et puis... j'ai recommencé à lire les Malaussène de Daniel Pennac... Vous connaissez, j'espère? Sinon, vous aurez au bas mot cinq livres à rajouter sur la liste des bouquins qu'il faut ab-so-lu-ment avoir lu (en plus d'Anna Gavalda). Et d'ailleurs, mettez-y tout Pennac, ça déchire.Mais Malaussène, ça a l'air d'être le début de tout...

Bon, bein voilà. Ca suffit peut-être comme post, non? ^^

(ah, au fait! J'ai relu tous les Tintin, et si vous voulez savoir le prénom de Rastapopoulos, c'est dans le Lotus Bleu que vous trouverez ça.)

13 mars 2007

Extrait

«Regardez une femme enceinte : vous croyez qu’elle traverse la rue ou qu’elle travaille ou même qu’elle vous parle. C’est faux. Elle pense à son bébé.»


[ Anna Gavalda ] - Extrait de "Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part"

Quoi ?? Vous ne connaissez pas encore Anna Gavalda ?? Si vous avez deux doigts d'émotion, un coeur, des yeux pour lire et quelques euros, courez acheter "ensemble c'est tout" que j'offre à tout le monde depuis deux ans. Je précise que les gens à qui je l'offre sont contents.

13 mars 2007

Moi aussi je vais au théâââtre

Par Maritxu

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Pour une fois, c’est moi qui publie un truc dans « culturons-nous bandes de moules », délicieux intitulé de catégorie emprunté – vous l’aurez tous remarqué – au Petit Spirou et son inénarrable Professeur Mégot.

Fin de l’introduction.

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Donc, ce weekend je suis allée trainer mes guêtres à Paris, chez des amis.

Ces amis ont malheureusement perdu un jeu stupide à notre mariage et comme leur gage au choix tombait en mars et que c’est bien connu, en mars il fait toujours moche, ils ne nous ont pas invités aux Maldives, mais au théâtre, ce qui est vachement moins exotique, mais tant pis. Nous sommes allés donc voir « la Valse des Pingouins » et j’ai bien ri.

pingouins

Comme ça doit être la première fois que je remets les pieds dans un théâtre après Electre vue en classe de première, je suis assez mal placée pour juger, mais après tout, c’est mon blog et pas le vôtre.

Pour moi, cette pièce est un archétype du théâtre de Boulevard, c’est gai, joli, il y a des couleurs partout, l’intrigue est pas prise de tête, légèrement prévisible, ça chante (juste), ça danse, bref, on ne voit pas le temps passer et on a passé un très bon moment.

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Je n’ai malheureusement pas eu d’éclair théâtristique, me disant qu’il faut dorénavant ab-so-lu-ment aller y régulièrement, mais ce n’était pas le but non plus.

J’ai juste été surprise de la variété des spectateurs : surtout des vieux (prévisible) et beaucoup d’enfants, même très jeunes. Alors oui, on y est allés en matinée (c'est-à-dire vers 15h) mais quand même. Est-ce à dire que pour les fils et filles de bonne famille, on se doit d’aller au théâtre ? Peut-être. Et c’est peut-être aussi parce que les sièges de théâtre sont à leur taille. Et qu’ils ne se rendent pas encore compte combien 4€ pour un Orangina peut être du vol.

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Ha oui ! Même si le théâtre, c'était super chouette, comme il a fait beau, j'aurai préféré aller aux Maldives.

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(Merci Hélène et Rémi)

2 mars 2007

Début

Par Maritxu

6/01/2007 Samedi

Je suis réveillée depuis 7 heures du matin. Impossible de me rendormir. Je n’ai toujours pas eu mes règles hier soir. Je refuse de me lever avant qu’il fasse jour. Je n’ai pas envie de réveiller mon Belge trop tôt. Mon test est prêt, sur le panier à linge, à côté des toilettes.

A 8h30, je craque, je descends, avec la ferme intention d’aller chercher les croissants avant de remonter réveiller mon belge, quel que soit le résultat.

Je déballe mon test, relis trois fois combien de temps il faut que je le laisse sous le jet d’urine.

5 secondes. OK. Go.

Arg !!! J’ai oublié d’enlever mon tampax ! Je ne sais même pas si ce test était utile à faire !

6 Secondes après (on n’est jamais trop prudents) je rebouche mon test et enlève le tampax : blanc.

La notice dit qu’il faut attendre une minute pour avoir le résultat, mais malgré toute ma volonté, je suis scotchée à la petite fenêtre. Une croix, une croix, allez, une croix…

Bon, celle que je vois je me l’imagine, ça ne fait que 10 secondes. Ha, le témoin fonctionne bien, le test est valable. Mais dites-moi, on la voit de mieux en mieux cette croix… Finalement, ce n’est pas mon imagination !

JE SUIS ENCEINTE !!

Je ne sais pas combien de temps la croix va rester, alors je cours prendre mon appareil photo pour immortaliser ça (on en se moque pas s’il vous plait !). Mais le jour commence à peine à poindre et je n’ai pas assez de lumière… J’allume les lampes, je me mets en modèle macro, je mitraille.

Puis je ne tiens pas, je fonce en haut et je me colle à mon chéri, qui bouge, ouvre un demi-œil. Je lui murmure : « tu vas être papa… tu vas être PAPA ! »

Il est heureux ! Mal réveillé, mais heureux, heureux ! J’ai du mal à réaliser. En fait, je ne réalise pas. Je suis juste inondée de bonheur.

28 février 2007

Un peu de vocabulaire ?

Par Maritxu

Je lis en ce moment sur pas mal de sites des gens qui se plaignent que le vocabulaire est de plus en plus limité, que les gens connaissent sur le bout des doigts les membres de la StarAc et ne connaissent pas Tolstoï, etc…
Tout ce ci est un peu vrai, mais il y a un juste milieu : je n’ai JAMAIS regardé la StarAC, mais je n’ai JAMAIS non plus ouvert un livre de Tolstoï. Mais je sais que les deux existent.

Pour le coup du vocabulaire, c’est vrai que c’est un peu dommage, on a une langue tellement riche, avec tellement de mots pour tout exprimer. Moi j’adore me prendre la tête sur un mot, savoir lequel est le plus juste.

Pas plus tard qu’il y a deux jours, avec mon Belge, on s’est disputés sur l’emploi de « regret » par rapport à « remords », à propos d’une phrase que je venais de lire : « il vaut mieux avoir des remords que des regrets ». Et je suis d’accord avec cette phrase. C’est l’occasion d’ouvrir un peu son dictionnaire ! (pour l’anecdote, c’est moi qui ai gagné (pour une fois)).

Et ça m’a rappelé une autre péripétie de ma vie palpitante, il y a bien longtemps…

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Campons le décor : je suis au lycée, en première, dans le train. Comme tout élève qui prépare le bac français, j’ai une liste impressionnante de bouquins à avaler et je profite de mes trajets en train pour le faire. En ce moment, je suis sur l’Education sentimentale de Flaubert.
En face de moi il y a une fille, un plus âgée que moi, qui regarde le paysage. Par curiosité, elle essaye de regarder le titre de mon bouquin (qui ne l’a jamais fait ?). Comme je ne suis pas peu fière de lire un classique, j’incline mon livre pour qu’elle puisse voir.
A la station suivante, deux racailles montent.(la suite est à lire avec l’accent de la banlieue de Trappes-la Verrière pour ceux qui connaissent)

- Allez z’y va on va embêter les d’moizelles !

Et zutre, c’est pour nous. Les deux boulets se collent à nous et le type qui m’a choisi regarde mon bouquin :

- Oh la d’moizelle elle est cultivée ! Elle lit ! Et elle lit quoi ? Ho l’aut’ ! L’éducation nationale !

La fille et moi on se regarde et on éclate de rire. On arrive plus à s’arrêter. Les deux andouilles sont super surpris :

- Ouais z’y va elles se foutent de not’ gueule, z’y va, on s’tire.

On a ri comme des bossues pendant encore dix bonnes minutes, et puis on s’est souri. Et elle est partie à l’arrêt suivant, sans un mot.

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J’ai adoré cette complicité littéraire muette, même des années après.

26 février 2007

Et puisque vous êtes sages...

... Je vais vous faire part de ma dernière révélation en date.

Vous voyez cette image, là?

ils_roulent___gauche__ces_cons

C'est une photo d'une route irlandaise... où je pars probablement d'ici quelques mois.

Je pensais que, fort d'un sentiment assez fort d'indépendance par rapport à la Grande-Bretagne, ils auraient éradiqué quelques fâcheuses habitudes des grands bretons, au profit d'une tradition pour le moins irlandaise...

Et bein non! Ils roulent aussi à gauche, ces cons!

26 février 2007

Bobby

BobbyJe vous avais dit: aujourd'hui je vous raconte la fin de Bobby. (comment ça je l'ai déjà fait hier?? Ah ouais... merde!)

Bobby, c'est donc l'histoire du jour où Robert F. Kennedy a été assassiné: le 5 juin 1968 (l'article d'Allociné dit que ça s'est passé à minuit... du coup, c'est le 5 ou 6 juin? Le mystère reste entier). Le lieu de l'action: l'hôtel où il a été assassiné, l'hôtel Ambassador à L.A. Le film est en fait une sorte de mosaïque d'histoires que différents personnages vivent dans l'hôtel, pendant cette journée, qui n'avait rien de tragique jusqu'à minuit. Le couple de jeunes mariés, la standardiste, le cuisinier, le directeur, des clients...

Ce film était vraiment bien. D'abord, parce que, contrairement à l'Ami Allemand d'hier, les images d'époque sont parfaitement intégrées à la fiction, en tout cas, c'est mon avis et je le partage.
Ensuite, parce que ça n'est pas un film à propos de "regardez ce que l'Amérique aurait pu devenir si un abruti n'avait assassiné ce saint de Bobby'... C'est un film à propos de l'espoir qu'il y avait dans ces années de transition entre une période réactionnaire et une période qui allait peut-être changer bien des choses dans un ordre établi depuis bien longtemps. Bobby n'était probablement pas un saint, et si, oui, il paraissait bien sympathique, ce jeune homme, c'est aussi et surtout parce qu'il était en campagne électorale. Quel individu serait assez stupide pour ne pas se montrer charmant alors qu'il recherche des votes?
Et puis, il y a le casting. Rien que pour le plaisir, je vous fais la liste: Anthony Hopkins, D
emi Moore, Sharon Stone, Elijah Wood, Harry Belafonte, Emilio Estevez (d'ailleurs réalisateur), Lyndsay Lohan, Laurence Fishburne, William H Macy, Helen Hunt, Christian Slater, Ashton Kutcher. Si ça, ça vous tente pas, je sais pas ce qu'il vous faut!

Donc, voilà, dans l'ensemble, un bon film, bien fait, pas démagogue, pas propagandiste démocrate (ce qui serait stupide, avec presque quarante ans de retard). Je vous dirai pas d'aller payer un ugc pour ça, mais si vous avez l'occasion, allez-y!

24 février 2007

Saint Valentin

En bonne célibattante, j'ai passé la Saint Valentin avec une copine, à médire des couples qui nous entouraient...

Mais, non, c'est pas vrai... On est vite rentrées dans un cinéma (tiens, c'est marrant, y en avait un juste en face de nous! La vie est bien faite tout de même...^^) pour éviter d'en croiser plus! ;-)

Nous sommes allées voir, ma blonde et moi, The Good German, avec George Clooney, Cate Blanchett, et Tobey Maguire. Une sombre histoire (en noir et blanc) qui se déroule près de Postdam après 1945. Pour ceux dont les cours d'histoire commenceraient à remonter un peu trop loin, la conférence de Postdam en juillet 1945, c'était le moment où les Alliés ont réclamé leur part du gâteau après la guerre: division et désarmement de l'Allemagne, par exemple. (Et pour l'anecdote, la conférence de Yalta, c'était en février de la même année... mais là, je fais surtout appel à ceux qui auraient passé leur bac avec Fluide Glacial...)

Donc, voilà, "L'ami Allemand", comme gentiment traduit sur le côté de l'affiche.... mais bon, voilà, c'est pas top. Y a alternation (oui, je sais que ça n'existe pas, mais j'ai la flemme de trouver le bon mot) entre images d'époque et du film; parfois la transition se fait bien, mais le plus souvent, c'est désagréable. L'histoire est confuse, très confuse, trop confuse. Au final, on sait plus très bien pourquoi les héros se battent, et déjà qu'on le savait pas au début, ça n'aide pas. Je crois qu'il y a une histoire d'amour, de trahison, de scientifiques, d'après guerre, mais alors dans quel ordre...?!!
Donc au final, un film qui malheureusement ne mérite peut-être pas qu'on paye un ugc pour lui...

Demain, promis, je vous raconte Bobby. Parce que, celui-là, je l'ai bien aimé! (et attention, Xabi, je vais dire la fin: Robert Kennedy meurt. Désolée!!;-)

23 février 2007

Conversation

Un jour au bureau :

- Bonjour madame, je voudrais faire une étude de sol pour ma maison.
- Pas de problème, nous faisons.
- Ha ? Vous faisez ?

Ben j’ai éclaté de rire.

15 février 2007

Anecdote médicale ou comment faire une phlébite en prenant de la Diane 35

Introduction : ce qui suit raconte une anecdote de ma vie en 1996 qui m’a assez marqué. Je conçois parfaitement que ça n’intéresse pas grand monde, mais je décide de le publier quand même, parce que j’ai moi-même cherché désespérément des jeunes filles ayant le même problème sans en trouver. Pendant des années. Alors, comme je ne suis ni la première ni la dernière, je voudrais raconter ce qui m’est arrivé pour que d’autres puissent y trouver un certain réconfort, ou me contacter par l’intermédiaire de ce blog. Voilà.  

La petite Maritxu est née avec des boutons. Sisi, promis, deux sur le front. Et l’obstétricien à dit à ma mère, dans un éclair de prescience : « cette petite, plus tard, elle aura des problèmes d’acné ».
Bien vu monsieur le docteur, je me serai bien passée de vos prédictions sur mon berceau. J’aurais préféré plus standard, une fée par exemple.

Donc oui, ado, je n’étais pas très jolie à regarder. Ma maman, cette sainte femme, ne voulant que mon bonheur, a décidé de faire quelque chose et de m’emmener chez un dermatologue pour solutionner ce problème boutonnesque. De fait, on en a vu plusieurs. Des qui me disaient que ça allait passer (haha  t’es jamais allé au collège avec ma gueule toi !), des qui me donnaient des produits qui ne marchent pas et d’autres qui me donnaient des produits qui me faisaient des boutons sous-cutanés tellement énormes que quand je racontais que je m’étais viandée dans l’escalier, on me CROYAIT. Donc, trois styles différents et autant de déceptions. Et les séances d’épluchage de points noirs sous la lampe en bonus.

Alors nous sommes allées voir une gynécologue, puisque de toutes façons il était temps, j’avais genre 15 ans. Et là, produit miracle : la pilule de régulation hormonale. Diane 35, pour ne pas balancer (ha bon, je l’ai fait ?). Super, plus d’acné, ou très peu. Au contrôle, 6 mois après, la gynéco décide que ça ne va pas assez vite et me prescrit un truc pour dessécher la peau : l’Androcur. Ca a l’air de fonctionner, je suis assez contente. Entre-temps je suis passée au lycée. Oui, parce que des aventures boutonnesques comme ça, ça ne se passe pas en 2 mois, hein, il a fallu que je me les traine quelques années mes furoncles. Bref.

Je suis en première, et un lundi de mars on entame l’endurance. Bon, je n’aime pas ça, mais je ne suis pas mauvaise : à chaque fois qu’il y a eu un cross d’organisé, je suis arrivée dans les 10 premières. Mais là, il se passe un truc bizarre. A la fin du premier tour, je ne sens plus mes poumons. Je halète comme une dingue qui n’a plus de souffle. Je refais un tour. Impossible. Zutre alors. Je m’arrête définitivement. La prof de sport, avec deux sous de jugeotte, voit bien que je ne joue pas la comédie (ça sert finalement de ne l’avoir jamais jouée) et me laisse tranquille jusqu’à la fin du cours, que je reprenne mon souffle. On suspecte une crise d’asthme. Mais je n’en ai jamais eu moi de l’asthme ! Ca peut se déclarer à 16 ans ? Le soir, super maman m’emmène chez le médecin pour vérifier. Ben non, pas d’asthme, ma capacité pulmonaire est énorme, je fais 50 (ml ? cl ? je sais  plus) de plus que la moyenne. Donc on ne sait pas. Tant pis, c’est passé, on verra lundi prochain.

Le jeudi soir, j’ai mal à l’aine. Je n’y prête pas trop attention, ce n’est pas vraiment gênant. Je prends un bon bain chaud et on en parle plus, ça va passer.

Le lendemain, ça n’est pas passé, ça a empiré. Je vais en cours, mais à midi, j’ai tellement mal à toute la jambe que je demande un cachet à l’infirmerie (où je n’avais jamais mis les pieds). Et à la première heure de cours de l’après-midi, je tâte ma jambe. Horreur. Elle est toute dure. Je relève mon fut’ : elle est violette. Bon, là il y a un petit souci. Je n’arrive presque plus à marcher, ce sont des copines qui me portent à l’infirmerie. L’infirmière est sceptique : « Ca ressemble à une phlébite, mais tu es trop jeune pour en faire une !» On appelle mon père, qui, par un miracle non encore résolu à ce jour, est allé travailler en voiture. Il peut donc venir me chercher et on fonce chez mon médecin traitant. Qui ne sait pas ce que je peux avoir. En attendant, je me marre, je suis mine de rien en train de sécher tout mon vendredi après-midi ! On va chez un spécialiste qui me dit, enfin :
-    Ben tu te payes une belle phlébite ma cocotte.
-   Et ça se soigne comment, on prend quoi comme médicaments ?
-    Non non, pas de médicament, tu vas tout de suite à l’hôpital, j’appelle le samu.
-    Ha ? Et pour combien de temps ?
-    On ne sait pas, on te met sous perf tout de suite, on verra comment tu réagis, mais au moins la semaine prochaine.
-     Ha mais c’est pas possible ! J’ai plein de contrôles la semaine prochaine moi !
-     Mais on ne te laisse pas le choix ma cocotte…
-     Heuuuu, au fait, c’est quoi une phlébite ?

Donc on va à l’hôpital, et là où mon père s’est rendu compte que c’était grave, c’est que lui a vu la camionnette des pompiers qui nous a suivie tout le trajet au cas où je mourrais en route. Moi je ne l’avais pas vue, j’étais en train de déconner avec les gars du samu, et de pester parce qu’ils avaient posé ma perfusion sur la main, ce qui n’est pas très pratique.

Ce qui s’est réellement passé, moi je ne l’ai su que très longtemps après, et mes parents, seulement 2 jours après, une fois que l’alerte a été passée. Le lundi, mon manque de souffle était une embolie pulmonaire. J’ai eu les poumons bouchés à 50%. Et j’ai failli mourir ce jour là. Le vendredi, quand la phlébite s’est déclarée, j’ai failli mourir. Et encore les 48 heures qui ont suivies, après le début de la perfusion d’héparine, le temps que ça fasse de l’effet. Qu’on ne m’ait rien dit, à moi, ok, je veux bien. Ca n’aurait rien changé. Mais à mes parents c’est dur. Ils étaient à courir dans tout l’hôpital, à demander pourquoi j’étais en réa alors que je n’avais pas été opérée, qu’est-ce que j’avais précisément etc. Moi je m’en foutais à la rigueur, je n’avais plus mal et ce qui m’arrivait était assez rigolo.
La thrombose que j’ai faite concerne les veines profondes : illiaque, poplité et fémorale. Sur 60 centimètres, de la cuisse au nombril à peu près. Il parait que je n’ai pas fait les choses à moitié. A l’heure actuelle (11ans après), une est encore complètement bouchée, une est semi bouchée et la troisième s’est reperméabilisée. Et on ne peut rien faire : le caillot est trop gros alors on ne peut pas le dissoudre, ce serait dangereux. Pas envie de mourir bêtement d’une rupture d’anévrisme après tout ça ! On ne peut pas enlever les veines bloquées non plus : elles sont trop profondes et il y a trop de linéaire intéressé.

J’ai passé des scintigraphies pour vérifier que l’embolie était totalement résorbée à l’hôpital, et au bout de la deuxième semaine d’hospitalisation, j’ai eu le droit de tenter de m’assoir. Et du coup, j’ai commencé à avoir mal. C’est un mal bizarre, ça ressemble un peu au syndrome des jambes lourdes, mais en cent fois pire, avec des milliers de petites aiguilles partout dans les jambes.

Je suis rentrée à la maison en ambulance (la classe, non ?) et j’ai passé encore un mois à me rééduquer tout doucement, en faisant des marches de plus en plus longues. Mon phlébologue était ravi : je n’avais pas d’œdème, ou très peu, pas de varice parce que je portais scrupuleusement la contention et comme je marchais régulièrement, j’ai même réussi à virer 5 cm de caillot. Wouhou ! En gros, dans mon histoire, j'ai eu toute la chance possible, mais après coup.

Les six premiers mois, j’étais sous coumadine, un anti vitamine K,  anti coagulant. Devinez ce que je n’avais pas le droit de manger ? Des épinards, des haricots verts, des choux de Bruxelles… Très très contraignant comme régime ! Le seul truc, c’est qu’il fallait contrôler souvent pour ajuster les doses, et j’avais des prises de sang toutes les semaines. Pas cool. Vers la fin, fallait vraiment chercher une veine potable tellement elles étaient trouées.

Juste pour l’anecdote, quelques années après, mon médecin m’a envoyée faire une cure thermale. Un échec sur toute la ligne. Je suis rentrée en ne voulant plus approcher un vieux à moins de 50 mètres. Ce genre de choses, c’est fait pour les vieux qui ne font rien de leurs journées. Moi j’étais à la fac, je prenais le bus/train/métro tous les jours, alors la marche j’aurais pu donner des leçons à n’importe qui. Et quand on est jeune, ça ne sert à rien d’autre qu’à te plomber tes vacances.

Le plus dur dans toute cette histoire, c’est de ne pas savoir pourquoi j’ai fait ça. On sait à cause de quoi (Diane 35 + Androcur) mais personne ne sait pourquoi. Dans l’état actuel des connaissances (dernier bilan hématologique complet fait en janvier 2006), je n’ai AUCUNE anomalie de la coagulation sanguine. Pas de déficit en protéine C ou S. Pas d’anomalie du facteur F, IV ou autre. Rien.
Donc, par mesure de prévention, quand je serai enceinte j’aurais des piqûres tous les jours. Je suis ravie.
En attendant, je porte des bas de contention comme les vieux, tous les jours. Je ne peux pas marcher sans. Mais on s’habitue en fait, maintenant, ça me fait bizarre de voir une fille les deux jambes nues, j’ai l’impression qu’il lui manque quelque chose !  

Mais ne croyez pas que je sois un cas unique. Dans la famille, on est une sacrée bande de déglingos. Un jour, Amaia vous parlera peut-être de son opération du cœur à 3 ans (ou de ce qu’elle s’en rappelle) et Xabi vous racontera comment il a réussi à se casser le sternum avec son menton. Sans toucher aux cervicales. C’est qu’on est forts dans la famille.

Pour preuve, notre médecin traitant ne veut plus nous voir !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

8 février 2007

Oh ... my ... God!

Alors, là, j'en reviens pas.

J'ouvre le magazine que mes parents reçoivent toutes les semaines, je fais mon petit tour habituel aux pages peoples (bein, oui, désolée, j'ai gardé de prépa cette habitude de m'enquérir de nos chères vedettes... mais je vous rassure, je n'ai jamais acheté Closer, ou... ah c'est con, j'ai plus de noms en tête.), et qu'est ce que je vois???

Quelque chose qui me choque autant que la photo de l'article précédent, mais évidemment pour des raisons diférentes. Voilà la chose en question:

Dan_Radcliff

L'avez vous reconnu? Oui, non, vous êtes pas sûr, la photo est trop petite, on voit pas bien son visage...? Bon alors si je vous mets celle-là, vous le remettez, ce jeune homme?

Harry_Potter_actor_will_star_in_December_Boys_2

Non, non, vous en rêvez pas. Nous parlons bien de la même personne, Daniel Radcliff, Monsieur Harry Potter en personne, qui sera sur scène pour jouer Equus, une pièce qui, si j'en juge par la petite recherche que j'ai faite, se joue dans la tenue la plus proche possible de celle d'Adam. A moins que ça ne soit que pour les photos de promotion, mais je trouverais ça un peu trop.

J'avoue, il n'est tout de même pas très épais, mais... depuis quand ça grandit, les petits garçons?

6 février 2007

Ca fait plaisir

J'aime mon manteau rouge.

J'ai l'impression de colorer le métro parisien, tout gris d'habitude... parce que, attention, il flashe, mon manteau rouge! Quand je dis "vif", je le pense!

Sinon... je crois que la touche "m" de mon clavier commence à me lacher... Elle répond de moins en moins à ma demande... Peut-être c'est à force de trop parler de ... moi, moi, moi, moi, moi, moi....?? (en même temps, c'est ça d'avoir un blog...)

Et sur le site de le blog de la rédac d'Allociné, j'ai trouvé cette photo de Jim Carrey (qui sans ma relecture serait resté Ji Carrey), qui m'a ... choquée. Dieu soit loué, que nous sommes loin d'Ace Ventura! (désolée pour les fans, j'ai jamais vraiment pu rester plus de 10 minutes devant ce film... mais j'aime bien The Mask, en revanche!) C'est tiré de son prochain film, Le nombre 23, un petit thriller, pour changer le petit Jim...

jim

Ca vous choque pas? Moi ça me choque... Pas forcément en mal, mais ça me choque...!!

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